S’il y a un haut responsable qui a encore besoin de passer par la classe de l’éloquence, c’est bien le président du CNT, le colonel Malick Diaw. Mais pourquoi donc lit-il ses discours de cette façon, comme s’il avait des malaises, avec des phrases hachées, sans aucun respect des principes de diction et d’éloquence ?
La Rédaction
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